Je veux vous offrir un cadeau. Si vous l’acceptez pour vous, il vous fera prospérer de plus en plus avec des richesses éternelles et vous enrichira continuellement avec des dividendes sans arrêt pendant le temps que vous passerez sur terre.
La colère naît souvent de la douleur. Si vous avez du mal à faire face à la douleur et à la colère, ne vous couchez pas sans la régler. Ce n’est pas une suggestion (Éphésiens 4.26-27) mais une commande. Si vous l’emmenez au lit avec vous, elle s’envenimera et couvera toute la nuit et vous ne vous lèverez pas de bonne humeur le lendemain matin. Nous devons la régler (Éphésiens 4.31-32) immédiatement. Un homme prudent (Proverbes 12.16) cache un outrage. Un autre aspect de cela, c’est se demander pourquoi le Dieu souverain l’a permis ? Était-ce pour nous apprendre quelque chose sur nous-mêmes ? Qu’y a-t-il en nous qui pourrait déclencher la colère ? Est-ce de l’orgueil ? Est-ce des blessures d’il y a longtemps et des blessures émotionnelles que nous avons toujours laissé trainer ? Pourquoi nous mettons-nous en colère ? Nous pouvons dire que nous avons pardonné au délinquant, mais si nous en parlons encore, ce n’est pas du pardon, c’est de la vengeance. Tous ceux à qui nous parlons auront une mauvaise opinion du délinquant.
Le Dr C. Stanley – « Il y a bien des années, il aimait et servait le Seigneur, mais il ne s’est pas rendu compte, jusqu’à ce que Dieu le lui révèle, qu’il était en colère contre Dieu parce que son père était mort quand Charles avait 9 mois. Donc, dès qu’il a été au courant, il a réglé cela avec le Seigneur ».
Ne pas pardonner nous fera du tort émotionnel, physique et spirituel. Peu importe à quel point nous sommes occupés à pratiquer de bonnes œuvres, nous ne pourrons jamais avoir la paix pendant que nous sommes en colère. La colère éclatera de façon inattendue dans certaines situations où les gens n’ont même pas l’intention de nous offenser.
Pardonner signifie que je prends volontiers sur moi le mal et la douleur que le délinquant mérite à cause de ce qu’il a fait. Au lieu de me concentrer sur ce que je pense qu’il mérite, je vais immédiatement au Seigneur et je rejette le péché de laisser la colère prendre le dessus. Je n’en parlerai plus jamais à personne d’autre qu’à Dieu et je ne ferai rien pour nuire à la réputation du délinquant. Si vous avez de sérieuses difficultés avec le pardon, parler à une personne sage et pieuse qui marchera avec vous tout le long et, bien sûr, tiendra tout en confiance. Peu importe que le délinquant s’excuse ou pas, cela regarde lui et Dieu. Mais il ne s’agit pas de lui – il s’agit de moi et de savoir si je choisirai d’obéir à Dieu ou non. L’Esprit Saint avec toutes (Galates 5.22-23) les belles caractéristiques de Jésus, est avec nous, donc nous avons le pouvoir de pardonner, d’agir sagement avec notre colère.
Y a-t-il des situations où nous pouvons être en colère (Éphésiens 4.26) sans pécher ? Très certainement parce que Dieu est en colère (Psaumes 7.12) contre les méchants tous les jours. La colère juste est éveillée par l’injustice, la maltraitance des enfants, le commerce du sexe, la fraude, l’exploitation et nous refusons de soutenir les gouvernements où les politiciens qui vivent des vies grasses, avides et très indulgentes au détriment de leurs citoyens démunis et désespérément dans le besoin. Cette colère exprime par un souci pour les autres. Le péché, c’est quand notre colère est à propos des dommages personnels faits à nous-mêmes. La colère juste ne doit pas nous conduire à nous joindre bêtement à des manifestations violentes et à des marches dommageables. Nous avons besoin de dirigeants qui soient (Exode 18.21) des personnes de vérité, craignant Dieu et qui détestent les gains malhonnêtes.
Nous pouvons apprendre de Néhémie (Néhémie 5.1-12) et comment il a géré sa colère juste.
Artaxerxès, roi de Perse avait permis aux Juifs de retourner dans leur patrie, mais en les forçant à payer des impôts exorbitants. Les Juifs pauvres ne pouvaient pas payer l’impôt ; ils ont donc dû emprunter à des Juifs riches. Ces prêts étaient accordés à d’autres Juifs à un taux d’intérêt élevé, qui avait été (Exode 22.23-26) totalement interdit par Dieu. La plupart des pauvres ne pouvaient pas payer l’intérêt et ont donc été forcés de donner leurs terres, puis leurs fils et leurs filles comme esclaves aux usuriers. Néhémie était très en colère et il les a appelés à rendre des comptes devant Dieu. Il a ordonné qu’ils arrêtent l’intérêt et remettent le jour-même tout ce qu’ils avaient pris, ou s’attendre au jugement sévère de l’Éternel. Sa demande a été accueillie avec obéissance.
Nous n’avons pas, comme Néhémie, l’autorité gouvernementale, mais nous avons un accès continu à la plus haute autorité de l’univers. Nous amenons donc notre indignation à Dieu et lui faisons confiance pour la transformer en intercession dirigée par l’Esprit pour la seule espérance - - la diffusion de l’Évangile du salut par le Christ Jésus.
Pourquoi est-il d’une importance vitale que nous pardonnions et que nous ne détenions aucune rancune de colère ? Quand Jésus a souffert au-delà de toute compréhension humaine et a totalement satisfait la colère de Dieu, il a prononcé ces 3 mots les plus importants et inestimables jamais prononcés dans toute l’histoire – « Tout est accompli ». Au même moment, le voile du temple (Marc 15.38) a été déchiré de haut en bas, exposant le saint des saints, la place de la gloire Schekinah de la présence de Dieu - et - personne n’est mort ! Pourquoi ? Parce que Jésus venait de mourir, et si immense et tout englobant était son expiation, que toute personne qui a confiance en lui pour le salut personnel (Jean 11.26) ne mourra jamais.
Venez avec moi pour observer et adorer l’agneau du Calvaire. Il a pris notre culpabilité pour que nous puissions avoir la conscience claire, Il a pris ce que nous méritions pour qu’il n’y ait pas d’écriture sainte contre nous, Il a pris tout notre péché et l’a fait tellement sien que nous pouvons avoir une histoire sans tache devant Dieu ; par conséquent, il a dû prendre notre punition complète. Il a complètement satisfait à la colère de Dieu afin que (Romains 8.1) nous n’y fassions jamais face. Maintenant, à la Croix où, dans Son AMOUR sans fond, sans limite, incompréhensible, Dieu a donné - - osons-nous demander pourquoi nous devrions pardonner aux autres ?
Si nous nous sommes vraiment repentis d’un péché dû à l’insouciance et où nous n’avons pas permis à la « pensée de Christ » de régner en nous, nous savons que Dieu nous a pardonnés, mais nous nous demandons comment nous avons pu être si insensés. À peu près à ce moment-là, le Seigneur nous bénit d’une manière très spéciale. J’ai vécu cela récemment quand j’avais bêtement laissé mes pensées errer sans surveillance pendant quelques brefs instants. Dans notre surprise et notre gratitude, nous devons nous rappeler que les bénédictions de Dieu ne sont jamais accordées à cause de nos mérites, mais seulement à cause du sang de Jésus, tout-puissant et tout englobant, qui nous a acheté une position tellement incroyable en présence du Dieu Tri-unitaire.
La douceur, la beauté, le mystère et l’émerveillement de notre Dieu suprêmement souverain (Ésaïe 46:9-11) transcendant est une force parfumée, un parfum rempli de puissance constamment versé quotidiennement dans nos vies.
À la lumière de ces glorieuses vérités, examinez attentivement – le manque de pardonner, la colère, les habitudes pécheresses, les préférences idolâtres, etc. qui usurpent la place légitime de Dieu. En valent-ils la peine ? Correspondent-ils à qui nous sommes en Christ ? Comment pouvons-nous rester fermement fidèles et loyaux à Jésus en ces temps de souvenirs douloureux récurrents, de traitement injuste il y a peu ou longtemps, de graves difficultés, des dangers effrayants et même de la persécution brutale ?
En moi, je sais que je suis un lâche - MAIS - le pouvoir est en Dieu (2 Corinthiens 3.5, 2 Corinthiens 4.7, 2 Corinthiens 12.9) pas en nous, jamais en nous-mêmes. Dieu seul est la source de toute puissance, il n’y a pas de pouvoir en dehors de lui. Nous sommes (Colossiens 1.11) renforcés selon la majesté de sa puissance glorieuse.
Je veux vous offrir un cadeau. Si vous l’acceptez pour vous, il vous prospérera de plus en plus avec des richesses éternelles et vous enrichira continuellement avec des dividendes sans arrêt pendant que vous êtes sur terre. « La sagesse divine (Proverbes 3.15, Proverbes 8.11) est plus précieuse que tout ce que vous pourriez désirer ».
Ce matin, j’ai été rempli d’émerveillement que QUI IL EST aime qui je suis et que QUI IL EST voudrait que (Jean 21.17) qui je suis l’aime LUI !!!!!